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"Nous ne devons pas répéter les erreurs du passé."
―Historien Jedi[src]

Les Historiens Jedi, ou Chroniqueurs Jedi, étaient des membres de l'Ordre Jedi qui choisirent de suivre la voie des Consulaires, se spécialisant comme archiviste. Ces Jedi se consacrèrent à l'étude de l'histoire de l'Ordre Jedi.

Description[]

Bien que les Gardiens des Archives Jedi avaient constitué l'Assemblée des Archivistes dans le Temple Jedi de Coruscant, les historiens étaient chargés d'étudier et analyser les ères du passé, notamment l'histoire de l'Ordre. Ils n'étaient pas restreints à Coruscant et étaient souvent affectés à des centres d'entrainement satellites, dont les académies de Kamparas, Telos IV et Obroa-skai.[1]

Les effectifs des historiens étaient au plus haut lors des périodes de paix relative. En temps de guerre, les Conseils Jedi mobilisaient le plus de Jedi possible, réduisant le nombre d'historiens restant dans les académies. À l'apogée de la République Galactique, de grands groupes d'historiens se rencontraient et discutaient de leurs analyses, théories et découvertes récentes. De nombreux historiens voyageaient aux confins de l'espace civilisé dans des Corps d'Exploration pour étudier les espaces nouvellement découverts et mettre la main sur des artefacts perdus comme des holocrons et des fragments d'écrits ancestraux. De plus, le Conseil de la Première Connaissance fut fondé par des historiens Jedi et avait pour mission de conseiller sur la manière d'utiliser ces vestiges Jedi.[1]

La plupart des historiens optaient pour la robe traditionnelle de l'Ordre, un ensemble de conception Ansatan utilisé par les historiens les plus importants de l'Ancienne République, comme Maître Atris[3] et Jocasta Nu.[4] Tionne Solusar remit au goût du jour cette tenue après la résurrection de l'Ordre après la Grande Purge Jedi.[5]

Historiens Jedi connus[]

ContrôleForceTSS

Rachi Sitra était une historienne Jedi qui cherchait à dénicher des connaissances oubliées

Bien qu'il ait existé un très grand nombre d'historiens Jedi, seul les noms de certains d'entre eux survécurent au passage du temps. Lors de la Guerre Civile des Jedi, Maître Dorak tenait le titre de Chroniqueur dans l'Enclave Jedi de Dantooine, en plus d'être membre du Conseil. Dorak avait également un apprenti, Deesra Luur Jada, qui devait lui succéder comme Chroniqueur mais il fut tué lors du Conclave de Katarr avant avoir pu terminer sa formation. Le Twi'lek continua cependant son entraînement seul et rassembla des données tout au long de la guerre.[6]

A la même période, Maître Kreia servit comme historienne au Temple de Coruscant subordonnée à la Bibliothécaire en chef Atris. En plus de ses fonctions de membre du Haut Conseil Jedi, Atris était responsable de la construction d'un lieu de secours sur Telos IV où elle entreposa secrètement des holocrons pour les sauvegarder. Une de ses servantes Echani Brianna, qui l'aida à protéger cet endroit, lui succéda les années qui suivirent la Première Purge Jedi.[3]

Après la Grande Guerre Galactique et le Sac de Coruscant, l'Ordre perdit ses Archives et son Temple puis fut forcé de se replier sur Tython. Le Haut Conseil chargea Maître Gnost-Dural de la mission de reconstituer les bases de données et de recréer une chronologie des événements qui ont précédé le déclenchement de la guerre.[6] Plusieurs siècles plus tard, après la Réforme de Ruusan, la Bibliothécaire en chef et Gardienne de la Première Connaissance Restelly Quist était une historienne responsable de recentrer les enseignements de l'académie. Durant l'Âge d'Or de la République, le rôle d'historien était rempli par beaucoup, comme Maître Thame Cerulian, un Corellien fasciné par le fonctionnement interne des holocrons Sith stockés dans la Crypte des holocrons.[1] Maître Tahl et Rachi Sitra furent parmi les derniers historiens de l'Ordre, bien que Maître Sitra survécut à la Guerre Civile Galactique.[7] La dernière Bibliothécaire en chef fut Jocasta Nu qui dirigeait les Archives jusqu'au terrible Siège du Temple Jedi, après trente ans de loyaux services.[2]

Apparitions[]

Sources[]

Notes et références[]

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